Salon FANTASTIQUE / JAPAN PARTY 2024 : notre retour

Pour Pâques, les cloches – à moins que ce ne soit un lapin – ont déposé les Éditions Kelach au Salon fantastique, associé depuis deux ans à la Japan Party. À dire vrai, cette dernière grignote d’ailleurs un peu le premier.

Le samedi matin, c’est sous une faible pluie que nous avons déchargé la voiture et installé notre stand, deux tables (puis trois) couvertes de magnifiques nappes noir brillant et surtout sublimées par nos publications. C’était parti pour trois jours.

 

Stand Kelach

 

Si le dimanche a été actif, le samedi l’a été un peu moins et le lundi – jour de fête – s’est révélé plutôt calme sur l’ensemble du salon. Force est de constater également que le duo Salon fantastique/Japan Party fait pencher la balance vers les fans des univers nippons. D’ailleurs, notre anthologie Contes nippons et notre dernier recueil Légendes urbaines (qui contient deux légendes japonaises) ont séduit plusieurs visiteurs. Néanmoins, sur ce salon, nous croisons surtout des non-lecteurs (si on exclut les mangas).

 

Jessie (Toy Story)1712066331887Spider-Punkschtroumpfette

 

Bien entourés par essentiellement des autoédités de talent, nous avons aussi eu le « bonheur » d’avoir, une travée derrière nous, un stand d’arts martiaux ponctuant leurs démonstrations de cris « ki », mais aussi des « boum » et des « bang » darmes en mousse sur les coussins de réception et boucliers. Et ce régulièrement pendant trois jours. Un peu dur pour les oreilles, même si nous devons admettre qu’ils sont impressionnants.

 

Démonstration sabre laser

Ici, démonstration de sabres lasers par un autre groupe.

Bon point pour la Japan Party : avoir laissé peu de place aux « vendeurs » pour ouvrir plus de stands à des artisans et de nombreux illustrateurs. Côté fantastique, outre les auteurs et quelques éditeurs dont notre fabuleux stand (si ! si !), on trouvait des démonstrations de jeux de rôle, du sabre laser et quelques artisans spécialisés.

 

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Merci aux bénévoles fort sympathiques, toujours à l’écoute et avec le sourire. Quelques couacs minimes dans l’organisation : manque de clarté sur le parking exposant/déchargement et tarif donnant accès à la Wi-Fi pour les paiements en CB beaucoup (vraiment beaucoup) trop élevé. La question se pose aussi de l’intérêt de prolonger ce salon sur trois jours. Le lundi n’est guère vivant. Peut-être que deux jours suffiraient en 2025 avec, par conséquent, un tarif des emplacements diminué d’autant (un tiers de moins ?).

 

Cosplay ChampignonsCosplay en carton

 

Côté Kelach, nous étions cinq à nous croiser sur les trois jours. Vraiment très agréable de nous retrouver là, dans une ambiance aussi bonne que joviale sur le stand. Plaisir que nous partagions avec nos visiteurs qu’ils soient acheteurs ou non – avec de vrais beaux échanges et des sourires qui nous soutiennent. Eh oui, le soutien, c’est important pour une jeune maison d’édition telle que Kelach. N’hésitez d’ailleurs pas à nous rejoindre, partager nos publications sur nos différents réseaux sociaux, à vous abonner à notre newsletter (sur le site), mais aussi à découvrir et offrir nos livres.

 

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Sur le stand étaient donc présents :

 

 

Malaury Pasini, autrice de « La Fosse » dans Légendes urbaines, une histoire de crocodiles dans les égouts sur fond de dystopie.

 

Légendes urbaines avait également le renfort de sa directrice de collection, Clémence Chanel, qui est aussi autrice de nouvelles dans trois autres de nos anthologies Demain nos libertés, Contes nippons et l’irrésistible Fantastiques Belles-mères.

 

Dans ces deux derniers recueils, nous retrouvons aussi Frédéric Gobillot qui présentait également l’ultime exemplaire de La Geste d’un tisserand avant sa très très prochaine réédition sous le label Kelach. Un one shot dans l’univers d’Orobolan.

 

Maxime Herbaut était là lui aussi. L’homme aux mille et une dédicaces exposait ses deux romans fantastiques : Heurtebise d’un soir et Un chien d’enfer. De l’étrange, du merveilleux et un grain de frisson.

Enfin, la correctrice/directrice de collection Bérengère Bouffaut était en renfort indispensable à cette équipe d’auteurs pour défendre la S-F et la jeunesse, ce qu’elle a parfaitement réussi.

Mais aussi pour organiser une nouvelle fois « l’impro qui tue ». Eh oui, nous avons récidivé avec les auteurs présents, les acheteurs et quelques lancers de dés pour créer, ex abrupto, une nouvelle que vous découvrirez bientôt et gratuitement sur notre blog (relayée par les réseaux, bien sûr). Tout commence par le meurtre d’un parachutiste retrouvé mort devant le Salon fantastique !

Ima 24 m1

Ima 24 b1

 

Pour résumer, trois journées sympathiques au cours desquelles nous nous sommes mis autant que possible des œillères pour ne pas faire trop d’achats sur un stand ou un autre… Nous espérons que les visiteurs qui sont passés sur notre stand viendront faire un tour sur notre site (vous devez avoir le marque-page-qui-va-bien pour nous retrouver) et que ceux qui se sont arrêtés ont passé un bon moment avec nous (même si nous n’avions pas de chocolats).

 

Les salons sont des moments de partage et un moyen de nous faire connaître.

Encore une fois, soutenez-nous !

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