Forêt des Maléfices

  • Fantasy à la Carte : Le Sceptre de Râ

    Merci à Fantasy à la Carte pour ce sympathique billet sur Le Sceptre de Râ d'Agostinho Moreira, premier tome de la trilogie « L'Ombre de Ravana ».
    Une chronique avec quelques bémols sur des personnages qui s'enrichissent dès le tome 2, en particulier… (désolé, je ne peux pas vous divulgacher).
    Une trilogie d'aventure, de frissons et d'anciens dieux à découvrir.

    Le sceptre de ra cmjn

    Couverture de Michel Borderie

    Pour lire la chonique de Fantasy à la Carte (et de nombreuses autres), cliquez sur l'image: 

    Logo fantasy carte 2

    Et vous, qu'avez-vous pensé du Sceptre de Râ ? Nous attendons vos commentaires ! Merci.

  • L'ANNEAU D'ODIN

    Anneau 1

    L'auteur Agostinho Moreira nous offre la suite tant attendue du Sceptre de Râ ; la suite de la quête du démon Ravana pour retrouver un corps et accéder au pouvoir tant convoité.

    Face à lui, l'Éalim, qui fut vénéré sur Terre comme le dieu Râ, va devoir faire appel une nouvelle fois à Franz Meyer. Aidé de son neveu et de sa dulcinée, l'archéologue retraité va reprendre la lutte dans une course effrénée pour éviter que le démon ne s'empare de l'artefact qui pourra assouvir les projets de Ravana.

    Un voyage qui vous conduira des forêts nordiques aux temples d'Amérique du Sud.

    Nous vous offrons le premier chapitre du deuxième tome de cette palpitante trilogie :

    LIEN

    Ravana 2 anneau d odin

    La version papier est disponible sur notre site et commande chez tous les libraires et déjà en Ebook sur la majorité des plateformes.

     

    Retrouvez également sur notre site le premier tome
    - Le Sceptre de Râ -

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  • APPEL à TEXTES : Légendes Urbaines

    Legendes urbaines

     

    Les éditions Kelach recherchent, pour leur collection Forêt des Maléfices, des romans (one shot) sur le thème

    Légendes urbaines,

     

    entre 400 000 et 700 000 signes espaces comprises.

     

    Les légendes urbaines sont partout. Certaines traversent les siècles, d’autres naissent de nos jours.

    Ainsi en est-il des légendes qui entourent la forêt d’Aokigahara au Japon, surnommée la forêt des suicides, de l’auto-stoppeuse fantôme, des alligators dans les égouts de Paris, du triangle des Bermudes, du vaisseau fantôme…

    Ces histoires font partie de notre quotidien. À vous de nous les raconter et de nous faire frissonner !

     

    Merci d’envoyer vos textes à clemence.chanel58@lilo.org avec pour objet « AT Légendes urbaines + Titre de votre roman », et de préciser dans le mail de quelle(s) légende(s) vous vous êtes inspiré.

     

    Avant de nous faire parvenir vos œuvres, n’oubliez pas de jeter un œil aux consignes de nos appels à textes (format, taille, mise en page…) : CONSIGNES.

     

    Un premier bilan aura lieu fin novembre 2020. Suite à celui-ci, l'AT pourra être stoppé ou prolongé.

     

    Au PLAISIR de vous LIRE

    Logo foret retouche

     

     

  • Interview de Vendarion d'Orépée.

    Bonjour Vendarion, puisque c’est là ton nom de plume.
    D’ailleurs comment l’as-tu choisi ?

    De la même manière qu’Arsène Lupin choisissait ses fausses identités dans les romans de Maurice Leblanc : en reprenant les lettres de mon nom véritable et en les assemblant.

    Ce nom a en outre une consonance elfique qui me convient parfaitement.

    Tu es l’un des associés des Lutins de Kelach, mais surtout,
    pour ce qui nous intéresse aujourd’hui, un auteur. Tu as 2 nouvelles dans Fantastique
    en pays de Chièvres. Peux-tu nous dire un mot de l’histoire qui a mené à la
    naissance de Fantastique en Pays de Chièvres ? Je crois savoir qu’il est
    né dans un atelier d’écriture ?

    Lorsque j’ai publié « L’Âme de l’Assassin » aux éditions Stellamaris, mon premier roman, j’ai entrepris un long chemin de croix dans le but de me faire connaître. C’est à la bibliothèque de Chièvres que j’ai croisé Claudy Demarez qui m’a proposé de me mettre en contact avec la presse et de faire une intervention au Conseil Communal. À partir de là, je devais prendre une initiative et je me suis dit : « pourquoi pas un atelier d’écriture ? ». Je venais d’en faire un pour les médiévales de Chièvres.

    Constant Vincent, qui venait lui aussi de publier son premier roman et suivait (et suit toujours, du moins je l’espère) des études dans le domaine du cinéma m’a aidé à organiser ce projet. Au début, nous n’étions pas certains de déboucher sur un résultat concret, mais nous avons laissé la porte ouverte à une anthologie et les participants ont parfaitement joué le jeu.

     

    Une de tes nouvelles dans Fantastique en pays de Chièvres
    fait écho à ton roman, les Portes de l’Agartha, lui aussi aux éditions
    Kelach. Peux-tu nous parler de ce roman ?

    « Les Portes de l’Agartha » proviennent d’une nouvelle que j’ai écrit pour l’anthologie « Blitzkrieg » de la série Otherlands. Cette nouvelle met en scène une expédition allemande dont le passager a invoqué une démone qui doit leur ouvrir les portes d’un autre monde. Le roman pousse l’histoire un peu plus loin puisque le passé et la psychologie des personnages et plus détaillée, je donne également plus d’informations sur les habitants de l’autre monde qui n’est pratiquement pas décrit dans la nouvelle.

     

    Tes héros viennent de deux mondes, un primitif et le nôtre.
    Pour ces derniers, il s’agit de marins de l’armée allemande à la fin de la
    seconde guerre mondiale. Si tous ces soldats sont loin d’être des héros, ce
    choix de faire de certains d’entre eux des hommes honorables a-t-il été dicté
    simplement par la nécessité - c’est-à-dire la recherche d’artefacts par les
    allemands – ou porte-t-il un autre message ?

    S’il y a un message, je préfère ne pas le révéler. ;-)

     
    our ce qui est des personnages, je me suis beaucoup inspiré de l’ambiance de « Das Boot » pour l’ambiance et la personnalité du capitaine dont j’avais l’intention de faire le héros de l’histoire… mais je me suis vite rendu compte que des matelots avec un rôles subalternes auraient beaucoup plus de liberté d’action qu’un supérieur qui n’a aucune alternative entre respecter les ordres et se révolter. Certains de ces matelots ont des motivations honorables, et d’autres un peu moins, mais ils doivent se serrer les coudes pour survivre et leur véritable personnalité se révèle dans l’adversité.

    Quelles parties de ton roman as-tu préférés écrire ?
    Celles concernant le monde contemporain ou celles qui se déroulent dans le
    monde primitif ? Et pourquoi ?

    L’un ne va pas sans l’autre, puisque mes sous-mariniers pensent connaître le monde de l’Agartha et les habitants de l’Agartha ont une vague idée de l’existence de notre monde… mais les deux visions sont naturellement déformées.

    J’avoue que j’ai pris un réel plaisir à décrire les peuples de l’Agartha, étant beaucoup plus libre d’imaginer les différentes ethnies et leurs coutumes sans avoir à consulter des tonnes de documents. La description de notre monde a nécessité de très longues recherches. Films d’ambiance et documentaires compris, j’ai dû visionner plus de 50 heures de vidéo
    .

    Pour revenir à toi, as-tu des romans ou des auteurs qui t’ont
    particulièrement marqué ?

    Dans l’ordre chronologique :

    « Les conquérants de l’impossible » de Philipe Elby. Une série de SF de la bibliothèque verte ou des adolescents font face à des événements hors du commun… avec des voyages dans le temps et des explorations spatiales.

    « Les Rois Maudits » de Maurice Druon a été la première saga à me passionner, je me suis précipité sur les romans après avoir vu la première adaptation télévisée avec l’inoubliable Jean Piat dans le rôle de Robert d’Artois. Il y a eu une seconde version en 2005 qui est généralement moins appréciée. Le principal reproche que je ferais à cette seconde version est d’être beaucoup trop « fantasy » dans les décors et les costumes.

    Les grands classiques de l’héroïc-fantasy, beaucoup de sagas (Conan de Cimmérie, Elric de Melnibonée, le Cycle de Thongor)

    Sont-ce eux qui t’ont donné l’envie d’écrire ou cette pulsion
    vient-elle d’ailleurs ?

    J’ai eu envie d’écrire à l’époque où je lisais Astérix, les Schtroumpfs et « Pif Gadget » et je me voyais volontiers comme scénariste de bandes dessinées… mais c’est en commençant le jeu de rôle et en découvrant les grandes sagas de fantasy que j’ai envisagé sérieusement d’écrire des nouvelles et des romans.

    « L’Âme de l’assassin » est le résultat d’une partie de JdR ayant pour cadre mon propre univers de campagne et les héros ont été créés et incarnés par mes joueurs de l’époque.

    les Portes de l’Agartha n’est qu’un début. Une ou des suites
    sont-elles prévues ? Et qu’est-ce qui nous y attend sans nous spoiler la
    fin de l’Agartha.

    Les derniers chapitres laissent ouvertes plusieurs suites possibles qui permettront de mieux découvrir le monde de l’Agartha, ses liens avec le nôtre et le mystère de la genèse de cet univers… Cet univers est révélé sous forme d’un immense puzzle dont chaque roman ou nouvelle apporte une pièce qu’un lecteur méticuleux peut assembler pour avoir une vision de l’ensemble.

    As-tu d’autres projets en tête ?

    Plusieurs romans qui seront la suite de « L’Âme de l’Assassin » et des « Portes de l’Agartha ». Bien que j’apprécie les suites, je mets également un point d’honneur à ce que chaque récit soit une histoire complète avec une fin bien définie… et une suite possible.

    J’ai remarqué que beaucoup d’auteurs se lancent très rapidement (trop rapidement) dans une saga dont aucun tome n’est compréhensible sans avoir lu les précédents… et abandonnent si le premier volume ne se vend pas, les lecteurs s’en sont évidemment rendu compte et commencent à bouder les sagas incomplètes.

    Je te remercie pour avoir répondu à ces quelques questions.
    Bonne écriture et comme toujours, je te laisse le mot de la fin.

    Sur ma vision des métiers d’auteur et d’éditeur, il y a énormément à dire.

    Avec la multiplication des plateformes d’édition en ligne, tout le monde peut écrire et se faire éditer et certains éditeurs peu scrupuleux voient ce phénomène comme un nouvel eldorado, avec l’auteur dans le rôle de la mine d’or qu’on peut exploiter en lui faisant payer des « services d’édition » pour un livre qui ne se vendra jamais faute de promotion. Pour ma part, je considère plutôt les auteurs comme des filons qu’il convient d’encourager et d’orienter.

    Au final, les lecteurs ne s’y tromperont pas…

  • Dédicaces à Huissignies (Belgique)

    Le dimanche 21 Juillet aura lieu les festivités traditionnelles au Musée de la Vie Rurale de Huissignies (en Belgique)

    Outre la visite de ce très beau musée dédiée à al vie rurale du XIXe siècle, de nombreuses démonstrations d'artisanats anciens ou de techniques agraires auront lieu au milieu d'une exposition d'anciens engins agricoles.
    Repas (jambon braisé) le midi (sur réservation avant le 14 juillet) et concert à 17h00 viendront égailler la journée.

    Enfin, les éditions Kelach (association Franco-belge) seront présentes avec plusieurs auteurs locaux de "Fantastique en pays de Chièvres", notre anthologie frissonnante dont vous pouvez lire quelques extraits sur ce même blog.

    Vendarion d'Orépée présentera également son roman "Les Portes de l'Agartha", récit fantastique faisant se rencontrer des marins allemands et un peuple primitif.

    Nos auteurs vous attendent nombreux pour vous faire voyager dans leurs imaginaires.

    Bonne journée.

  • Le Sceptre de Râ

    Agostninho Moreira est un des premiers auteurs de Kelach (avant même que Kelach ne s’appelle ainsi).

    Avec le Sceptre de Râ, il nous entraîne dans la quête égyptienne de l'archéologue allemand Franz Meyer recruté par Râ lui-même pour contrer les visées de puissance du démon Ravana.

    Découvrez ici le premier chapitre de ce roman dont une suite, qui vous emmènera dans le Grand Nord et la mythologie nordique, est en cours de production.

    Le sceptre de ra cmjn

    Retrouver le Sceptre de Râ et tous nos romans sur le site des Editions Kelach.

  • LE SCEPTRE DE RÂ

    Le sceptre de ra cmjn

    Auteur : Agostinho Moreira

    Illustrateur : Michel Borderie

     

    Aperçu :

    Depuis son enfance, Wilhem a toujours été le souffre douleur des autres. Bien qu’ayant réussi à obtenir un poste important, son désir de revanche l’empêche d’être parfaitement heureux. C’est alors qu’un obscur démon hindou nommé Ravana vient lui proposer un marché qu’il ne peut pas refuser : dominer ses semblables en échange de son aide pour récupérer un puissant artefact, le sceptre de Ra. Ra n’étant pas d’accord pour que Ravana utilise son sceptre à ses fins, il va demander à l’aristocrate Franz Meyer, dont il connaît la grande valeur, de récupérer le sceptre et le détruire si nécessaire. Une lutte entre les deux hommes commence. Qui l’emportera ?

 

Nos nouveautés de printemps
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