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  • [Interview] ChaBarb, illustrateur de L'Ingénieur de Noël

    Bonjour
    ChaBarb.

    Bonjour Fred.

    Il y a quelques années, nous nous sommes rencontrés au détour d’un salon (assez calme) par l’intermédiaire de Mestr Tom et depuis, nous travaillons ensemble sur une de mes séries. Aussi ça me fait étrange de t’appeler par ton pseudo et non ton prénom, mais bon.

    Mon pseudo !  Un choix technique et protecteur. Il est très difficile d'écrire, voire de prononcer mon vrai nom de famille*, donc sûrement très difficile de me trouver sur internet. Simple et logique. Et pour protéger mes enfants, ma famille de mon travail, être plus libre de créer derrière un pseudo sans les retombées possibles.

    *Je confirme. ;-)

    En introduction, je dirai donc que je connais la qualité de ton travail, tes multiples univers d’illustrateur, ta rapidité, ton sérieux et ton implication sur les projets auxquels tu participes.
    Parlons de L’Ingénieur de Noël que tu as accepté d’illustrer pour les Lutins de Kelach. Qu’est-ce qui t’a séduit dans ce projet ?

    Kelach Éditions est venue à ma rencontre pour illustrer le conte de Tiphaine. J'ai pris connaissance du texte et constat immédiat : c'est différent des références du genre, rafraîchissant, il y a de l'aventure et beaucoup de sentiments à partager.
    Il ne me restait ensuite plus qu’à me mettre d'accord avec Kelach pour commencer le travail (et rêver de Noël en été).

    Couv

    Comment as-tu
    abordé les personnages ? L’autrice Tiphaine Levillain t’a-t-elle donné des
    consignes précises ou avais-tu un grand espace de liberté ?

    Tiphaine m'a donné
    plusieurs pistes, des attentes, des références et sa vision. Ensuite nous avons
    échangé plusieurs croquis. Surtout pour les personnages principaux de
    l'aventure !

    Comment s’est fait
    le choix des tons et des couleurs ? Une évidence ou as-tu tâtonné
    avant de trouver l’aspect qui convenait à Tiphaine et à toi ?

    J'ai une palette variée et j'aime illustrer pour les autres.
    Ici nous visions un public jeune, donc j'ai sorti la palette, dessin rond, simple, pour que l'enfant puisse lui aussi profiter, s'amuser (reproduire les images ou illustrer des scènes de l'histoire). Ainsi que la mise en couleurs, proche d'un rendu feutre / aquarelle / crayon de couleur. L'enfant (ou l'adulte) peut donc se faire plaisir.
    (D'ailleurs le livre a entièrement était dessiné en noir et blanc et sera en principe diffusé pour que les enfants puissent, s’ils le souhaitent, simplement colorier une illustration de l'histoire).*
    Les scènes sont choisies ici par l'auteur principalement, donc on tombe juste sur chaque représentation du jour / chapitre.
    Mes propositions ont tout de suite plu à Tiphaine.

    *Quelques illustrations à colorier vous seront offertes lors des dédicaces et salons,
    et certaines seront disponibles ultérieurement sur le site Kelach.

    Qui a eu l’idée du jeu intégré à l’histoire, c’est-à-dire retrouver les trèfles dans chaque image ? Un aspect ludique très appréciable, je trouve.

    J'adore lire des histoires à mes enfants. Et nos livres contenant des jeux sont nos favoris ! Leur regard navigue dans l'illustration pendant que tu racontes l'histoire. L'idée a beaucoup plu à Tiphaine.  Ensuite, elle a trouvé un second jeu (je n'en dis pas plus, il vous faut lire l'histoire).

    Pas trop de
    difficulté pour placer ces objets cachés ?

    Certains éléments du jeu ont été difficiles à placer, surtout quand tu n'as qu'un personnage de présent.

  • [Roman] L'Atelier

    Si les Lutins de Kelach éditent en premier lieu de la fantasy, nous ne sommes pas contre quelques pas de côté.
    Le roman dont nous vous présentons le début aujourd'hui fait partie de ceux-là, comme un coup de cœur.

    Ecrit par Florence Albouy-Hamitri, L'Atelier nous dévoile par touches, une année d'atelier d'écriture. Nous apprenons à découvrir les différents participants, découvrons peu à peu leur personnalité, leurs difficultés et leurs aspirations. De véritables extraits de vie bel et bien ancrés dans la réalité.

    Place à la découverte :

    L atelier couverture

    Un roman à acquérir sur notre boutique et à savourer bien confortablement installé.


    La Boutique Kelach

  • [Interview] Floriane Derain, Directrice de collection du Bosquet Féérique

    Bonjour
    Floriane, à la veille d’une sortie d’importance pour les Lutins de Kelach, je
    viens à toi pour que nos lecteurs puissent faire plus ample connaissance avec
    toi. Peux-tu te présenter en quelques mots ?

     

    Bonjour, avec plaisir. Je m'appelle Floriane Derain, j'ai 32 ans, je suis autrice de poésie et de nouvelles en dilettante depuis l'adolescence. Ma dernière publication en date s'intitule "Fantôme dans la machine", une nouvelle Steampunk parue dans l'anthologie Nutty Ghosts aux Éditions Nutty Sheep. Quant à la prochaine, elle est pour très bientôt puisque je suis lauréate du concours Émergences 2 !, organisé par la Charte des auteurs et des illustrateurs jeunesse.

    Tu es donc la directrice attitrée depuis quelques mois de le collection Bosquet Féérique*, notre collection pour la jeunesse. Peux-tu nous résumer ton rôle ?

    Mon rôle est surtout tourné vers les auteur·ice·s, depuis la sélection des manuscrits jusqu'aux corrections éditoriales. Je me vois un peu comme une chercheuse de diamant en quête de la pierre brute dont je pourrais révéler tout le potentiel. Je dois aussi veiller au respect de la ligne éditoriale de la collection voire de l'orienter par mes choix éditoriaux.

    Je
    rappelle que tu es aussi la correctrice en chef de cette collection jeunesse*.
    Qu’est-ce qui te séduit dans cette quête de textes pour les 5-12 ans et
    donc dans la littérature jeunesse ?

    Je crois que la littérature jeunesse est avant tout une littérature de plaisir et d'évasion. C'est en tout cas comme ça que je la vis. Chez les plus jeunes, il n'y a pas ce besoin de « suspension consentie de l'incrédulité », ou en tout cas beaucoup moins que dans la littérature pour adultes. De ce fait, les récits se permettent souvent plus de liberté pour aller chatouiller l'imagination et la réflexion du lecteur, et c'est ce qui me plaît.

    Parlons
    un peu de cette très belle parution, L’Ingénieur de Noël, écrit par
    Tiphaine Levillain et illustré par ChaBard (que j’aurai aussi le plaisir
    d’interviewer très prochainement). Peux-tu nous en donner un très court
    teasing ?

    Il s'agit de l'histoire d'un gobelin, nommé Oblio, qui se trouve être un inventeur de génie au service du Père Noël et de ses lutins. Alors que d'habitude, il arrive à bout de n'importe quel problème, cette année, la nouvelle machine qu'il doit fabriquer pour le Père Noël lui donne bien du fil à retordre. Heureusement, il va pouvoir compter sur de nouveaux amis, un peu d'aventure et beaucoup de bienveillance pour tenter de sauver Noël !

    Est-ce
    sa forme de livre de l’avent, ses personnages, ses illustrations ou tout
    simplement son histoire qui te charme ?

    Je dirais tout d'abord le fond, c'est à dire son histoire et ses personnages. Tiphaine a su créer un récit enchanteur et une vraie personnalité à chacun de ses personnages. C'est une histoire qui se dévoile au rythme d'un chapitre par soir, à la manière d'un calendrier de l'avent, et ça risque d'être dur pour les enfants de patienter jusqu'au lendemain, tant elle est prenante.

    Et comme un bijou ne va pas sans son écrin, ChaBard est venu sublimer le tout de ses illustrations. Elles sont modernes, colorées, avec une touche d'originalité qui les rend uniques et indispensables pour savourer l'ouvrage. C'est un vrai bonheur de voir les personnages prendre vie au fil des pages.

    Si
    L’Ingénieur de Noël est notre publication forte de ce dernier trimestre
    2019, le Bosquet Féérique ne s’arrête pas là. Un appel à textes permanent
    existe, mais tu es toujours à la recherche de la perle rare. Peux-tu, ici, nous
    dire ce que tu souhaiterais plus particulièrement lire : tranche d’âges,
    sujet, univers et atmosphère ?

    Au niveau de ce que je recherche actuellement, j'aimerais bien sortir un ouvrage pour les 12 ans et plus, quelque chose d'entraînant et de bien rythmé, qui soit plutôt de la SF ou de la fantasy (pas de fantastique).

    Comme
    toujours, je vais te laisser le dernier mot, mais avant, je voudrais te dire
    que les Lutins de Kelach sont ravis de te compter parmi eux. Encore une fois
    « Bienvenue ». À présent, à toi le mot de la fin :

    Eh bien merci ! Pour l'accueil et pour cette interview. J'espère qu'elle aura donné envie aux lecteur·rice·s de se procurer L'Ingénieur de Noël, ainsi que de me faire parvenir leurs manuscrits.

     

    *En dehors des tomes précédemment publiés et de la série des Contes des 2 Comtés.

  • [Sortie] Contes des 2 Comtés : Les Contes du Soleil Levant

    C5 soleil levant

    L'univers des Contes des 2 Comtés s'enrichit d'un nouveau tome qui va vous conduire loin de l'île jumelle de ce monde. Vous allez découvrir un double de l'univers créé par Mestr Tom, mais sous inspiration nippone.

    La princesse Chrysanthème est encore dans ses jeunes années. Elle va partir à la découverte de ces terres étrangères afin de retrouver des artefacts magiques pour retourner chez elle.

    Elle y rencontrera des personnages dérivés de contes traditionnels, mais aussi une jeune femme qui a pour habitude de doubler des voix de dessins-animés, dont celle d'un héro bien connu... Aventures et dangers sont au rendez-vous.

    Découvrez ici le début de ce que les lutins Mestr Tom, Romane Gobillot, Annick De Clerq sans oublier Régi pour la couverture, vous ont imaginé : LIEN (ancienne couverture)

    Et pour en savoir plus et acquérir les Contes du Soleil Levant, c'est sur notre site des Editions Kelach.

    La série des Contes des 2 Comtés est un partenariat avec l'Académie de Minuit.

  • Le chant de l'âme

    Ultime extrait du Cycle des Gardiens, recueil des 4 romans fondateurs de l'univers d'Orobolan créé par Mestr Tom.
    Cette ce dernier récit, l'auteur nous plonge dans un Orobolan contemporain sous la tutelle rigide de consortium sans scrupules.

    Imaginez un monde où cinq entreprises contrôlent la musique que vous écoutez, les habits que vous portez ou encore la télévision que vous regardez. La musique n’est plus que formatée par la grande Starpop, leader mondial de la chanson.
    Seul le clan vampirique de la Lune Bleue résiste encore aux despotes. C’est dans ce monde que Thomic, dernier descendant d’Erebios, doit vaincre le Mal. Mais existe-t-il encore des survivants de chaque ethnie ancestrale d'où pourrait surgir des Elus ?

    Un récit ajouté d'une conclusion au Cycle des Gardiens où devront s'unir les 4 pour un dernier combat dont ils ne sont pas sûr de sortir gagnants.

    Pour vous, le début : LIEN

    Pour acquérir le Cycle des Gardiens, rendez-vous sur la boutique des Editions Kelach.

  • L'inconnu de la hunelle

    Chievres

     

    Nous avons déjà parlé sur ce blog des Portes de l'Agartha de Vendarion d'Orépée. Cette seconde nouvelle de l'auteur publiée au sein de l'anthologie "Fantastique en pays de Chièvres" s'inscrit dans l'univers de ce roman, même s'il n'est pas utile de l'avoir lu pour se délecter de cet inconnu de la hunelle.

    Voici comment il nous présente son texte :

    Le soldat inconnu a réellement existé...
    Et au risque de choquer les familles des vaillants poilus de Verdun, je dois préciser qu'il était allemand et que son histoire se passe à Chièvres, en 1944.

    Les historiens de l'occulte savent qu'il possédait une épée magique, qu'il possédait des pouvoirs et luttait contre un -- ou plusieurs -- sorciers, mais nul ne sait quels étaient ses véritables but et commanditaires.
    Et nul ne sait qui il était bien sûr... sinon il ne serait pas inconnu.

    Lire le Début.

    Retrouvez "Fantastique en pays de Chièvres" sur le site des éditions Kelach.

  • Interview de Vendarion d'Orépée.

    Bonjour Vendarion, puisque c’est là ton nom de plume.
    D’ailleurs comment l’as-tu choisi ?

    De la même manière qu’Arsène Lupin choisissait ses fausses identités dans les romans de Maurice Leblanc : en reprenant les lettres de mon nom véritable et en les assemblant.

    Ce nom a en outre une consonance elfique qui me convient parfaitement.

    Tu es l’un des associés des Lutins de Kelach, mais surtout,
    pour ce qui nous intéresse aujourd’hui, un auteur. Tu as 2 nouvelles dans Fantastique
    en pays de Chièvres. Peux-tu nous dire un mot de l’histoire qui a mené à la
    naissance de Fantastique en Pays de Chièvres ? Je crois savoir qu’il est
    né dans un atelier d’écriture ?

    Lorsque j’ai publié « L’Âme de l’Assassin » aux éditions Stellamaris, mon premier roman, j’ai entrepris un long chemin de croix dans le but de me faire connaître. C’est à la bibliothèque de Chièvres que j’ai croisé Claudy Demarez qui m’a proposé de me mettre en contact avec la presse et de faire une intervention au Conseil Communal. À partir de là, je devais prendre une initiative et je me suis dit : « pourquoi pas un atelier d’écriture ? ». Je venais d’en faire un pour les médiévales de Chièvres.

    Constant Vincent, qui venait lui aussi de publier son premier roman et suivait (et suit toujours, du moins je l’espère) des études dans le domaine du cinéma m’a aidé à organiser ce projet. Au début, nous n’étions pas certains de déboucher sur un résultat concret, mais nous avons laissé la porte ouverte à une anthologie et les participants ont parfaitement joué le jeu.

     

    Une de tes nouvelles dans Fantastique en pays de Chièvres
    fait écho à ton roman, les Portes de l’Agartha, lui aussi aux éditions
    Kelach. Peux-tu nous parler de ce roman ?

    « Les Portes de l’Agartha » proviennent d’une nouvelle que j’ai écrit pour l’anthologie « Blitzkrieg » de la série Otherlands. Cette nouvelle met en scène une expédition allemande dont le passager a invoqué une démone qui doit leur ouvrir les portes d’un autre monde. Le roman pousse l’histoire un peu plus loin puisque le passé et la psychologie des personnages et plus détaillée, je donne également plus d’informations sur les habitants de l’autre monde qui n’est pratiquement pas décrit dans la nouvelle.

     

    Tes héros viennent de deux mondes, un primitif et le nôtre.
    Pour ces derniers, il s’agit de marins de l’armée allemande à la fin de la
    seconde guerre mondiale. Si tous ces soldats sont loin d’être des héros, ce
    choix de faire de certains d’entre eux des hommes honorables a-t-il été dicté
    simplement par la nécessité - c’est-à-dire la recherche d’artefacts par les
    allemands – ou porte-t-il un autre message ?

    S’il y a un message, je préfère ne pas le révéler. ;-)

     
    our ce qui est des personnages, je me suis beaucoup inspiré de l’ambiance de « Das Boot » pour l’ambiance et la personnalité du capitaine dont j’avais l’intention de faire le héros de l’histoire… mais je me suis vite rendu compte que des matelots avec un rôles subalternes auraient beaucoup plus de liberté d’action qu’un supérieur qui n’a aucune alternative entre respecter les ordres et se révolter. Certains de ces matelots ont des motivations honorables, et d’autres un peu moins, mais ils doivent se serrer les coudes pour survivre et leur véritable personnalité se révèle dans l’adversité.

    Quelles parties de ton roman as-tu préférés écrire ?
    Celles concernant le monde contemporain ou celles qui se déroulent dans le
    monde primitif ? Et pourquoi ?

    L’un ne va pas sans l’autre, puisque mes sous-mariniers pensent connaître le monde de l’Agartha et les habitants de l’Agartha ont une vague idée de l’existence de notre monde… mais les deux visions sont naturellement déformées.

    J’avoue que j’ai pris un réel plaisir à décrire les peuples de l’Agartha, étant beaucoup plus libre d’imaginer les différentes ethnies et leurs coutumes sans avoir à consulter des tonnes de documents. La description de notre monde a nécessité de très longues recherches. Films d’ambiance et documentaires compris, j’ai dû visionner plus de 50 heures de vidéo
    .

    Pour revenir à toi, as-tu des romans ou des auteurs qui t’ont
    particulièrement marqué ?

    Dans l’ordre chronologique :

    « Les conquérants de l’impossible » de Philipe Elby. Une série de SF de la bibliothèque verte ou des adolescents font face à des événements hors du commun… avec des voyages dans le temps et des explorations spatiales.

    « Les Rois Maudits » de Maurice Druon a été la première saga à me passionner, je me suis précipité sur les romans après avoir vu la première adaptation télévisée avec l’inoubliable Jean Piat dans le rôle de Robert d’Artois. Il y a eu une seconde version en 2005 qui est généralement moins appréciée. Le principal reproche que je ferais à cette seconde version est d’être beaucoup trop « fantasy » dans les décors et les costumes.

    Les grands classiques de l’héroïc-fantasy, beaucoup de sagas (Conan de Cimmérie, Elric de Melnibonée, le Cycle de Thongor)

    Sont-ce eux qui t’ont donné l’envie d’écrire ou cette pulsion
    vient-elle d’ailleurs ?

    J’ai eu envie d’écrire à l’époque où je lisais Astérix, les Schtroumpfs et « Pif Gadget » et je me voyais volontiers comme scénariste de bandes dessinées… mais c’est en commençant le jeu de rôle et en découvrant les grandes sagas de fantasy que j’ai envisagé sérieusement d’écrire des nouvelles et des romans.

    « L’Âme de l’assassin » est le résultat d’une partie de JdR ayant pour cadre mon propre univers de campagne et les héros ont été créés et incarnés par mes joueurs de l’époque.

    les Portes de l’Agartha n’est qu’un début. Une ou des suites
    sont-elles prévues ? Et qu’est-ce qui nous y attend sans nous spoiler la
    fin de l’Agartha.

    Les derniers chapitres laissent ouvertes plusieurs suites possibles qui permettront de mieux découvrir le monde de l’Agartha, ses liens avec le nôtre et le mystère de la genèse de cet univers… Cet univers est révélé sous forme d’un immense puzzle dont chaque roman ou nouvelle apporte une pièce qu’un lecteur méticuleux peut assembler pour avoir une vision de l’ensemble.

    As-tu d’autres projets en tête ?

    Plusieurs romans qui seront la suite de « L’Âme de l’Assassin » et des « Portes de l’Agartha ». Bien que j’apprécie les suites, je mets également un point d’honneur à ce que chaque récit soit une histoire complète avec une fin bien définie… et une suite possible.

    J’ai remarqué que beaucoup d’auteurs se lancent très rapidement (trop rapidement) dans une saga dont aucun tome n’est compréhensible sans avoir lu les précédents… et abandonnent si le premier volume ne se vend pas, les lecteurs s’en sont évidemment rendu compte et commencent à bouder les sagas incomplètes.

    Je te remercie pour avoir répondu à ces quelques questions.
    Bonne écriture et comme toujours, je te laisse le mot de la fin.

    Sur ma vision des métiers d’auteur et d’éditeur, il y a énormément à dire.

    Avec la multiplication des plateformes d’édition en ligne, tout le monde peut écrire et se faire éditer et certains éditeurs peu scrupuleux voient ce phénomène comme un nouvel eldorado, avec l’auteur dans le rôle de la mine d’or qu’on peut exploiter en lui faisant payer des « services d’édition » pour un livre qui ne se vendra jamais faute de promotion. Pour ma part, je considère plutôt les auteurs comme des filons qu’il convient d’encourager et d’orienter.

    Au final, les lecteurs ne s’y tromperont pas…

  • La deuxième prophétie

    O0 cycle des gardiens

    Nous voici de retour dans l'épopée centrale du monde d'Orobolan créé par Mestr Tom. Troisième roman inclus dans le recueil Le Cycle des Gardienes, La deuxième prophétie nous embraque une dernière fois à l'époque médiévale du continent de Kalonbleizh face aux manigances de Cristal.
    Les Gardiens père et fils, vont avoir fort à faire pour réunir des Elus aptes à sauver le monde des griffes du dieu déchu.

    Alors que dans une grotte, quelque part dans le royaume, deux mages discutent du destin du monde, le jeune Kharon, soldat de la garde royale, se prépare pour une nomination importante, mais tout bascule. Le voilà entraîné bien malgré lui dans un conflit qui dure depuis dix mille ans.  Sous quelle forme le Mal sera-t-il de retour cette fois et qui est ce mystérieux personnage qui suit tous les faits et gestes de nos héros ?

    Découvrer le début : LIEN

    Un roman a retrouvé aux Editions Kelach aux côtés des autres romans indépendants de l'univers d'Orobolan.

  • Les Contes Hors-Série : Extrait.

    9782490647453

    Mest Tom, créateur de l'univers des Contes des 2 Comtés prend ici sa plume pour écrire plusieurs nouvelles piochant dans divers personnages de son monde que nous retrouvons au détour des autres romans de la série.

    Si l'ensemble des neufs romans de cette série forme un tout cohérent dans lequel plusieurs personnages se retrouvent d'un livre à un autre, tout comme les autres les Contes Hors-Série peuvent se lire sans avoir lu les autres tomes.

    Vous retrouverez bien sûr la princesse Chrysanthème, le Roi Conteur ou Sombre, mais aussi d'autres moins mis en avant dans les autres tomes comme la Fée Line, Ombre ou Ouf.

    Voici le début de la première nouvelle de ces contes : LIEN.

    Et bien sûr, si cet extrait vous a séduit pour acquérir les Contes Hors-Série ou tout autre roman de cette série, rendez-vous sur le site des Editions Kelach.

  • Derrière les murmures

    Chievres

    Constant Vincent a imaginé 2 nouvelles pour l'Anthologie "Fantastique en pays de Chièvres". Voici sa présentation de son second récit très éloigné de son premier et quin va vous conduire dans d'obscures recoins d'une léproserie.

    Sur la route, près de la ville de Chièvres, se trouve une léproserie. Un lieu simple pour des gens simples, pieux et bons. Mais si votre regard se pose sur la chapelle, si vous trouvez la force d'en franchir le seuil et marchez jusqu'en son chœur, alors vous découvrirez un secret, fait de douleur et de tristesse, dont personne n'ose parler à voix haute.

    Un secret, mais également un mensonge. Et quand vous l'aurez compris, il sera temps de vous demander : êtes-vous prêt à découvrir ce qui se cache derrière les murmures ?"

    Une nouvelle à découvrir en entier dans l'Anthologie que vous trouverez sur le site des Editions Kelach.


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